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Edipress : Un géant international dans le monde des médias

Edipress building
Edipress building

Avec plus de 180 magazines, quotidiens et plusieurs sites web édités en Europe et en Asie, la compagnie Edipress – dont le siège social est à Lausanne – constitue aujourd’hui un groupe dynamique à vocation internationale. Plus de 3’800 collaborateurs font partie de son équipe, dont plus de la moitié sont actifs à l’étranger. Le groupe Edipress est  l’un des trois principaux éditeurs de Suisse.

Une stratégie de développement

L’entreprise a commencé ses activités en 1907 sous le nom de Société de la Feuille d’Avis de Lausanne et des Imprimeries Réunies, avant d’adopter la raison sociale Edipress S.A. en 1988.  depuis le tout début, la compagnie applique une stratégie basée sur les trois principes suivants : la concentration de ses ressources financières sur les activités des pays où l’acquisition d’une part de marché est possible; le souci d’offrir des produits de qualité destinés à l’information et au loisir; demeurer indépendante par-rapport aux influences des groupes de pression, tout en assurant la défense des idées démocratiques et la liberté d’expression.

Tourné vers l’entraide et l’environnement

Le groupe Edipress soutient des activités de bienfaisance à travers des organisations d’entraide (ou des fondations) dans la plupart des pays où la Compagnie exerce ses activités. De plus, elle s’implique activement dans des programmes visant à la préservation de l’environnement (protection de l’air, de l’eau, réduction de la pollution sonore, recyclage, consommation énergétique).

Note : Edipresse Suisse est aussi actif, avec des partenaires publics et privés, dans le domaine de la télévision régionale (Vaud-Fribourg) et le Groupe entend aussi investir de manière soutenue dans les nouvelles technologies aptes à distribuer ses contenus et à servir ses clients sous forme électronique.

Connaissez-vous l’histoire de CADBURY?

cadburyL’histoire de ce réputé géant du chocolat remonte à 1825, il y a donc près de 200 ans. Propriétaire d’une petite entreprise familiale, John Cadbury a d’abord commencé par vendre du thé et du café dans son petit magasin de Birmingham en Grande-Bretagne. Au fil du temps, le chocolat fut ajouté à son inventaire et devait ouvrir à Cadbury Brothers Ltd. un très vaste horizon sur le plan international. Dès le tout début, Cadbury a fait campagne pour la justice, l’égalité, la réforme sociale et même pour le mouvement anti-esclavagiste.

Lorsque John Cadbury prit sa retraite, ce sont ses fils, Richard et George, qui ouvrirent une usine importante dans une banlieue créée à cet effet, six kilomètres de sud de la ville de Bournville. Après la Seconde Guerre mondiale, Cadbury Brothers Ltd. fusionna avec la compagnie J.S. Fry & Sons Limited spécialisée dans les produits à base de chocolat. Cette fusion prit le nom de Cadbury Schweppes en 1969 et d’autres usines ont été ouvertes par la suite en Égypte, en Espagne, en Irlande, en Nouvelle-Zélande, en Afrique du Sud, en Australie ainsi qu’en Tasmanie. La Compagnie a poursuivi son expansion pour atteindre sur le plan international le succès qu’on lui connaît aujourd’hui.

Rolle et Cadbury

La décision d’établir le siège social de la compagnie en Suisse romande, à Rolle plus précisément, a été motivée par plusieurs raisons. Région située au cœur de l’Europe et ouverte sur le monde, le canton de Vaud se trouve à proximité immédiate des principaux marchés européens de Cadbury Schweppes. De plus, les conditions y sont idéales pour les entreprises et la qualité de vie élevée constitue un avantage à considérer. A Rolle, la compagnie emploie 8’000 personnes sur un effectif mondial de 70’000.

En mai 2008, le groupe Cadbury Schweppes a été scindé en deux entités : Cadbury et Dr Pepper Snapple Group qui regroupe les boissons américaines de l’ancienne entreprise.
En janvier 2010, après plusieurs négociations, Cadbury a accepté l’offre d’achat de 13 milliards d’euros de la compagnie Kraft Foods.

Vevey : siège social de la multinationale Nestlé

Siège de Nestlé à Vevey
Siège de Nestlé à Vevey

Fondée en 1866 par un pharmacien suisse d’origine allemande, Henri Nestlé, la compagnie du même nom – dont le siège social est installé à Vevey – a atteint aujourd’hui un chiffre d’affaires qui lui vaut le 48e rang mondial des grandes entreprises. La compagnie agroalimentaire Nestlé est d’ailleurs cotée au SWX Swiss Exchange.

Henri Nestlé inventa et commercialisa d’abord une farine lactée destinée aux nourrissons,  puis vinrent s’ajouter le lait en poudre, les confiseries, le chocolat, les eaux de santé, les boissons instantanées ainsi que les produits frais, au fur et à mesure de la croissance de sa compagnie en Suisse et dans le monde. Innovatrice de premier plan sur le marché européen, elle a ensuite lancé de nouveaux produits tels que le café soluble (Nescafé), les plats lyophilisés (Bolino) et les surgelés.

En 1985, la compagnie Nestlé a créé un centre consacré à l’alimentation : l’Alimentarium de Vevey qui se situe dans un cadre exceptionnel, au centre-ville de Vevey sur le bord du Lac Léman. Ce musée abrite une exposition permanente présentant la production, la transformation, les effets et la commercialisation des denrées alimentaires dans les quatre domaines suivants: cuisiner, acheter, manger, digérer. Ces informations sur l’alimentation sont complétées par des expositions temporaires interactives et des ateliers de cuisine ainsi qu’une exposition sur l’histoire de l’entreprise Nestlé avec une présentation des groupes de produits les plus importants. Pour plus d’information sur ce musée unique : http://www.alimentarium.ch

De plus, en janvier 2009, Nestlé inaugurait son nouveau « WellNes Center », regroupant ses restaurants d’entreprise, un centre de bien-être et de sport ainsi qu’un centre médical.

Quant à la ville de Vevey, installée au bord de ce grand lac avec une vue superbe sur le panorama alpin, sous un climat particulièrement doux, on comprend pourquoi elle est surnommée « la perle de la Riviera suisse ».

Travail à domicile sérieux

Si vous tapez le requête  « travail à domicile » sur le moteur de recherche google… que cela soit sur google.ch (plus de 4 millions de résultats) ou google.fr (4 millions de résultats) vous verrez que la toile ne manque pas de proposition toutes plus alléchante les unes de autres.

Alors que j’étais étudiant à l’Uni, j’ai testé plusieurs type de job online ou travail à domicile par Internet car j’avais besoin d’argent pour payer mes factures et c’était internet qui me passionnait par dessus tout.

J’ai vu un peu de tout, j’ai gagné pas mal d’argent avec certaines opportunités et j’en ai perdu avec d’autres, les moteurs de recherches ou autre sites dédiés à l’emploi donnent tout en vrac, les emplois à domicile sérieux et les monstres arnaques (voir: Arnaques du travail à domicile) (souvent illégale d’ailleurs) se côtoient de près.

Depuis peu, j’ai créé le « Portail du travail à domicile » pour permettre à chacun de découvrir ce qui est vraiment sérieux et rémunérateur parmi le vaste choix offert par les différents sites traitant du domaine. Le portail n’est de loin pas exhaustif et se construit une base de donnée tout lentement, mais en le parcourant vous aurez des conseils de bases pour vous lancer dans l’aventure sans faire les mêmes erreurs que moi.

Mon travail à domicile à par exemple abouti à ce genre  de site: Finance et actualité du football

La BCV en pleine sérénité

La Banque cantonale vaudoise (BCV) enregistre en 2007 les deuxièmes meilleurs résultats de son histoire, ce qui n’a pas empêché son action de chuter en bourse faute de perspectives. Et une page se tourne avec l’annonce du départ de son directeur Alexandre Zeller.

En 2007, la BCV a clos le chapitre des années de crise. Elle a terminé le remboursement des bons de participation et a ramené ses crédits compromis à un niveau «raisonnable». Symbole de ce retour à la normale: la banque a recommencé à payer des impôts, ce qui a pesé sur le bénéfice net en recul de 11% à 477 millions. Les revenus s’inscrivent à 1,1 milliard de francs (-1,1%).

Le bénéfice brut s’est établi quasiment au même niveau (-1%) que le record de 2006. La BCV a poursuivi sa politique de réduction des crédits compromis. Cela a permis la libération de provisions entraînant 283 millions de produits extraordinaires (+16%), un scénario qui ne pourra pas se reproduire dans les mêmes proportions lors des prochains exercices, a averti la banque. Ces résultats ont pourtant déçu les analystes, entraînant une chute du titre en bourse. / ats-afp-reuters

Bière: Deux thunes de moins sur les impôts

Le taux d’imposition communal sera maintenu à septante points pour 28. Et les citoyens ne paieront plus l’impôt personnel fixe.

Une bonne nouvelle pour les habitants de la commune de Bière. Leur impôt communal ne prendra pas l’ascenseur et sera maintenu à 7 points. Ainsi en ont décidé les conseillers communaux en approuvant le préavis municipal lors de la séance du conseil, lundi soir à la Maison de Ville. Une disposition louée par la commission des finances qui estime la situation financière communale plutôt saine. Et ce, malgré les incertitudes sur les nouvelles charges financières relatives à la répartition des tâches entre confédération et cantons (RPT). Répartition qui pourrait occasionner un supplément de dépenses, pour la commune, compris entre 15? et 2? francs.

Et ce n’est pas tout, au chapitre des bonnes nouvelles. Les Birolans verront même le montant total de leur redevance communale 28 amputé de? dix francs! Deux thunes qui correspondent à l’impôt personnel fixe, «pompé» aux quelque six cent vingt citoyens. Y compris ceux exemptés d’impôts ou au bénéfice de l’aide sociale, le but de cette «taxe» étant de responsabiliser fiscalement les gens ne participant pas financièrement au ménage communal. Du point de vue financier, les 62 francs que rapporte cet impôt ne sont pas rentables en rapport avec le travail et les frais administratifs (4 francs) engendrés par sa perception. Sans compter les rappels, téléphones et autres réclamations qu’il occasionne,» relève la commission des finances, consciente que cet impôt n’atteint pas son but. Par ailleurs, il est à relever que sur les 378 communes vaudoises, seules 84 (principalement rurales) perçoivent encore cet impôt personnel fixe.